Moussa, jeune algérien d’un certain âge, habite un immense chanteau qu’ont bâtit ses aïeux, un peu de peinture refaite à neuf, après que les derniers locataires aient été virés (jaw karyin welaw moul ed’dar), Moussa, comme tout bon algérien qui se respecte, n’habite pas le château tout seul, mais il y partage cette grande demeure avec du monde, beaucoup de monde.
Moussa s’occupait du colombier, il nourrissait les pigeons, et s’en occupait bien, des pigeons qui permettaient une communication rapide et efficace, un espace de communion et de rencontre entre l’humain et la nature, c’était un havre de paix dont il s’occupait avec une immense joie. Lire la suite