Changement de blog

2014, une décision importante a été prise : Travailler le Self-branding. alors, pour travailler ça, je me suis mit à redémarrer à 0 sur certains services.

C’est ainsi que j’ai lancé un nouveau compte twitter par exemple : @SadegOmar , où vous pouvez désormais me suivre. L’identité Omarrix OiX, je ne l’abandonne pas totalement, dans un pur esprit geek, un pseudonyme fait partie de son identité, et de la psychologie même de la personne, elle est très représentative, alors je la laisse encore.

Je quitte alors un nickname, pour un realname, un nickname qui me suit maintenant depuis 11 ans, mais je n’insinue en rien un divorce avec.

Et toujours dans cet élan, j’ai lancé un nouveau blog; http://omarsadeg.tk/ , en essayant d’y mettre une touche plus pro, plus sérieuse. Mais je ne ferme pas ce blog encore, j’y publie très rarement, mais je l’aime beaucoup 🙂

Désormais, la majeure partie de mes publications se feront sur l’autre blog, Omar Sadeg, vous pouvez vous y abonner si vous voulez être notifié de la moindre nouveauté, ou publication.

Merci.

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Parrain-Linux

parrain linux-

Aujourd’hui, bien que le monde Linux devient de plus en plus familier à de nombreuses personnes, sa force réside toujours dans sa communauté, qui passionne, et qui ne cesse de grandir, et de croître en qualité et en service.

Parmi ces communautés grandissantes, il en existe certaines dont le but est de mettre en contact les novices, qui débarquent dans ce monde féerique du logiciel libre, avec leurs Guru, afin que l’entre-aide soit parfaite.

Aujourd’hui, je veux vous parler de Parrain-Linux, un service qui permet, comme je l’ai expliqué plus haut, de mettre en contact les nouveaux utilisateurs Linux avec leurs aînés, et donc de permettre une belle entre-aide, un parrainage à l’eau bénite de Linux, par les grâces de Saint Torvalds.

Parrain-Linux permet non seulement une entre-aide, mais une documentation, et une recherche de parrain par zone géographique, ce qui vous permet de retrouver les parrains ou filleules  les plus proches de vous, afin que ça soit le plus efficace possible.

Alors n’hésitez pas à vous y inscrire, de rejoindre la communauté, et de la faire vivre, vous aussi, filleule ou parrain, rejoignez-nous !

keep calm parrain linux

A quand une amélioration de l’université algérienne ?

Stude, non ut plus aliquid scias, sed ut melius

Remise des diplômes

Allez, j’enfile mes lunettes de nerdo-troller, et ma veste de gars sérieux (une veste assez poussiéreuse, je la met si peu, surtout qu’il fait chaud), et je vais vous parler un peu du rôle de l’université dans les TIC en Algérie, enfin parler … je partage des idées, vous me direz, vous, vos avis sur le sujet … Lire la suite

TEDxAlger ver2.0

Quoi ? Vous avez raté le TEDxAlger ?? Non mais Allo quoi ! Vous vivez sur quelle planète ?

TEDxAlger, le 15 Juin 2013, au TNA

TEDxAlger, le 15 Juin 2013, au TNA

Le TEDxAlger s’est tenu hier, le Samedi 15 Juin, accessoirement Anniversaire d’Hugo Pratt, Johny Halliday, et même de Tim Hinter (le réalisateur de Dexter), jour dont l’adage dit : « S’il pleut le quinze juin, il n’y a pas de raisin. » Lire la suite

ISMAS, la lute pour la culture en Algérie.

ISMAS, cet institut complétement méconnu du public y a quelques jours encore, fait couler des litres d’encre sur la presse algérienne, des gigas de pixels sur nos écrans de PC, voir maintenant en paquets d’ondes sur les télévisions.
Un institut d’à peine une centaine d’étudiants, qui rentrent en grève, et en arrivent à une grève de faim, qui dure depuis 8 jours à l’heure où j’immacule cet écran de cet écrit, pour des revendications qui n’ont rien d’original tant ce sont les mêmes proclamées partout (un meilleur diplôme, une meilleure pédagogie, et un matériel adéquat), mais cette grève fait le buzz. Pourquoi ?

On ne vous cache pas qu’en Algérie, on ne gère pas le secteur de la culture comme celui des hydrocarbures, et qu’un pays a beau connaître des ingérences, l’Algérie se distingue et brille sur ce terrain. Le secteur de la culture mérite (dixit un profane sur internet) : « Le prix Nobel à Cannes » de la mauvaise gestion.
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Que vient faire le ministère de la culture dans cette histoire ? ba … c’est simple, l’ISMAS en dépend.

L’ISMAS, Institut Supérieur des Métiers des Arts du Spectacle et de l’Audiovisuel, est l’un des 3 établissement supérieurs culturels, avec l’École Supérieur Nationale des Beaux Arts, et l’Institut National Supérieur de Musique, dont le ministère assure la tutelle afin d’apporter à ce pays un semblant de formation dans le domaine de la culture, les beaux arts pour les arts plastiques, l’INSM pour la musique, et l’ISMAS pour le cinéma, la télévision et le théâtre.

Si pour les arts plastiques il existe des écoles régionales, et pour la musique des conservatoires, pour ce qui est du cinéma, l’ISMAS est le seul et l’unique institut du pays à l’assurer.

Ces artistes en herbe, qui se sont engagés dans un domaine très sensibles, tant ça touche les masses, ont tout abandonnés pour l’amour de l’art, bacheliers, c’est les arts dramatiques ou l’audiovisuel qu’ils ont choisi comme vie, et quelle vie ?

La désillusion est grande, et la déception est flagrante. Pédagogiquement, c’est le relâchement totale, le manque d’enseignants, la non application du programme, et le remplissage de l’emploie du temps par des modules secondaires qui se refont 3 années d’affilée. Et le diplôme remis est insultant, étant un diplôme supérieur (délivré par le Ministère de la Culture et par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, un diplôme universitaire) n’est ni reconnu par le MESRS, ni par le MC … Rajouté à cela le manques de moyens.

Mais cet institut (passé par différentes appellations : INAD, INADC, ISMAAS, ISMAS) a donné de grands noms, Mohammed Fellag, Bouakkez, Malika Belbai, Hichem Mesbah, Nabil Asli, dans un état précaire, la volonté de ses étudiants a été telle que nombre parmi eux sont ceux qui ont réussi.

Cette année cet institut fête ses 50 ans, il a été créé en 1963 par Mustapha Kateb, et cette année, pour la énième fois, les étudiants ont demandé à sa tutelle de lui donner la véritable place qu’il mérite dans le société, le prendre un peu plus au sérieux, et assurer un meilleur enseignement, assurer un meilleur diplôme, et lui procurer un minimum de matériel digne pour sa pédagogie. Les étudiants ont voulu aller jusqu’au bout, la culture a besoin de ses enfants, l’Algérie a besoin de ses enfants, de sa culture.

Un manque de qualité est déploré chaque jour dans les domaine qu’enseigne l’ISMAS en Algérie, et tout le monde sait qu’ON DOIT l’améliorer, et les revendications des étudiants ne sont faite que pour y arriver.

En 2011, le ministère a accepté de négocier, et de revoir tout ça, des ateliers ont été tenus, et tous ces ateliers sont arrivés à des solutions, une promesse de les appliquer dès la rentrée a été faite, et 2 ans après, le ministère répond par le silence, enfin, un silence qui … a été rompu au 4ème jour de grève de la faim par une nouvelle qui choque, au lieu d’une réponse simple qui pourrait en faire une héroïne, et rester dans les annales comme étant celle qui a sauvé l’art dramatique et l’audiovisuel en Algérie, la ministre décide  de fermer le seul et l’unique institut du domaine dans le pays … juste parce que les étudiants ont demandé quelques droits rudimentaires et légitimes …

La presse, les réseaux sociaux, tout le monde a relayé l’info, ça a pris de l’ampleur, alors, de peur, le ministère publie un communiqué, incriminant les étudiants, puis, sur un second élan, l’administration attaque les grévistes en justice …

Cette tragédie à l’algérienne n’est pas prête de se terminer, Homère et Eschyle auraient été jaloux, en Grèce ils n’ont pas pu voir ou imaginer une histoire avec 10 héros, appuyé de 100 de leurs camarades, tenir tête à la déesse cerberienne pour faire d’elle une héroïne. Une tragédie qui se joue dans le pays des hommes qui tuaient les lions à mains nues, sur le bord de la mer où a navigué Ulyss, Barbe rousse et Sinbad, mais dont l’issue reste encore inconnue.

Ces 10 héros, se sacrifiant, en se privant de toute nourriture, pour faire entendre au peuple leur lute juste, et attirer les regards à ce dénigrement flagrant, dans un secteur aussi primordiale pour peuple qu’est la culture. Dix héros, et leurs camarades, veillant sur eux jour et nuit, et organisé de manière à faire de leur lute un exemple, dans la discipline, l’organisation, et le respect des lois, en restant pacifiques, et déterminés. Dix héros qui lutent pour plus qu’une formation, dix héros qui lutent pour l’honneur d’un peuple, pour sa gloire, pour que l’Algérie se montre fière entre les peuples de sa grande culture; Mustapha, Salim, Ramzy, Allaoua, Yacine, Ali, Madjid, Cheikh, Youcef, et Oussama, retenez bien ces noms, car si demain l’Algérie a un cinéma, ça sera grâce à eux !

Fable Telecom – DZBlogDay

Moussa, jeune algérien d’un certain âge, habite un immense chanteau qu’ont bâtit ses aïeux, un peu de peinture refaite à neuf, après que les derniers locataires aient été virés (jaw karyin welaw moul ed’dar), Moussa, comme tout bon algérien qui se respecte, n’habite pas le château tout seul, mais il y partage cette grande demeure avec du monde, beaucoup de monde.

pigeon

Moussa s’occupait du colombier, il nourrissait les pigeons, et s’en occupait bien, des pigeons qui permettaient une communication rapide et efficace, un espace de communion et de rencontre entre l’humain et la nature, c’était un havre de paix dont il s’occupait avec une immense joie. Lire la suite

Retour sur l’IP4

Affiche de l'IP4Je me souviens encore des éditions précédentes, audacieuses, tant l’organisation d’un évènement pareil est loin d’être évidente, tant d’énergie dépensée, de tensions, de manque de temps, mais la réussite a été à chaque fois au rendez vous.

Arrive la version 2012, la 4ème édition du nom, on l’attendait de Lire la suite

Une Interview Con : Mehdi Drissi d’Oracles d’Afrique.

Une interview est un genre textuel journalistique très utilisé quand on ne sait pas quoi raconter sur quelqu’un, ça crée l’illusion de donner la parole à la vedette, de lui permettre de s’exprimer, on se dit « Ah! y a l’interview de Bieber !!! Je veux connaître tous ses Gaga »  et se rendre compte que … c’est nul, et ce n’est pas mieux en lisant une interview de Mariah Carrey à propos de ses deux jumeaux qui se ressembleraient presque si l’un d’eux voulait bien être l’exemple de l’autre …

Trêve d’intelligence Lire la suite